L'enfant va au CP avec plaisir, sachant lire et compter, il aime étudier. Que se passe-t-il alors, pourquoi l'intérêt d'acquérir des connaissances s'efface-t-il ? Indignés par les gribouillis dans les cahiers et les devoirs non remplis, de nombreux parents se plaignent de la réticence de leurs enfants à apprendre.
L'essentiel est de ne pas laisser le processus suivre son cours. Peu importe la classe dans laquelle se trouve votre enfant - première classe ou diplôme, essayez de comprendre les raisons de son manque d'intérêt pour l'apprentissage. Parmi eux, il peut y avoir la fatigue, qui est particulièrement évidente au troisième trimestre, un manque de compréhension du matériel, l'ennui, l'amour chez les adolescentes, des problèmes dans les relations avec les pairs ou les enseignants. N'oubliez pas que les mauvaises notes ne sont pas une raison pour gronder un enfant, mais un signal pour les parents qu'ils ont besoin d'aide: s'occuper du matériel pédagogique, réfléchir ensemble, proposer une solution au problème et s'assurer que le négatif d'une mauvaise note est effacé le plus rapidement possible.
Pour le bébé, la routine joue un rôle important. Lorsque votre enfant va à l'école, essayez de maintenir un certain rythme de vie auquel il est habitué. Il faut du temps et de la patience parentale pour qu'un bambin espiègle devienne un élève assidu. L'activité cognitive d'un écolier est de nature ondulante. Des périodes d'étude obstinée alternent avec des périodes de « refus » d'apprendre. Les élèves de première année maîtrisent mieux les connaissances grâce aux jeux rythmiques et à la poésie. S'engager dans une activité pendant plus d'une demi-heure est difficile pour eux. Par conséquent, lorsque vous faites vos devoirs, faites des pauses de dix minutes.
Mettez-vous d'accord avec votre enfant sur le moment où il étudie, et quand il regarde des dessins animés, va se promener ou joue à la maison. Ne laissez pas l'enfant seul avec les leçons, même votre seule présence l'aidera à faire face seul au travail. Lorsque vous avez besoin de vous souvenir de quelque chose, apprenez les règles, inventez des rimes, utilisez des objets improvisés, posez des questions. Regardez ensemble des programmes éducatifs sur la science, la nature, recherchez des informations intéressantes sur Internet. Les cours ne doivent pas être ennuyeux pour un élève du primaire, mais il doit le savoir fermement: d'abord les leçons, puis les divertissements.
L'éducation au niveau moyen et supérieur coïncide avec une certaine période de croissance de l'enfant. Appeler à la discipline chez un adolescent n'est pas facile. Il refuse les valeurs de ses parents, il se sent adulte. En imposant durement vos méthodes, vous ne rencontrerez que des résistances. Laissez-le essayer différentes options pour faire ses devoirs, se préparer pour les cours, mais exigez le résultat. Félicitez-le plus souvent, encouragez-le à être indépendant. Attention aux problèmes et aux expériences d'un adolescent, un dialogue constant entre vous sont des éléments importants de votre communication pendant cette période. Soyez un exemple pour un fils ou une fille en pleine croissance, évitez en leur présence des déclarations négatives sur le système éducatif, sur l'inutilité de l'éducation, etc. Les enfants de cet âge saisissent très rapidement les contradictions entre les paroles et les actions des adultes.