Il y a plusieurs années, on ne demandait pas aux jeunes mères de consentir à un vaccin néonatal. Ils ont été conçus pour tous les bébés qui n'avaient pas de « soin médical ». Beaucoup de choses ont changé dans le domaine de la vaccination des nourrissons aujourd'hui.
Quels changements ont eu lieu
Premièrement, la conscience des parents eux-mêmes a changé. Ils ont commencé à réfléchir au fait que chaque intervention dans le corps de l'enfant a certaines conséquences, qui dépendent en grande partie des caractéristiques individuelles de la santé de l'enfant.
Deuxièmement, la législation actuelle reconnaît le choix des parents sur la vaccination. Par conséquent, les menaces des pédiatres selon lesquelles un enfant non vacciné ne sera pas emmené à l'école ou à la maternelle sont absolument infondées.
À propos des dangers des vaccins
La question de savoir si les vaccinations sont nocives pour les nourrissons a été vivement débattue ces dernières années. Les opposants à la vaccination prouvent leurs convictions sur les dangers de cette procédure par les faits suivants:
- Le tout premier vaccin administré à l'hôpital s'appelle BCG. En Occident, elle a été abandonnée il y a longtemps, mais dans l'espace post-soviétique, elle se fait à tous les enfants. Le BCG ne prévient pas l'infection par la tuberculose, mais il permet d'éviter les formes sévères en cas de maladie. La vaccination administrée aux nourrissons altère la fonction hépatique et entraîne des complications post-vaccination.
- La lutte contre l'hépatite B commence aussi entre les murs de l'hôpital. En raison des complications associées au vaccin, l'OMS a recommandé aux fabricants de vaccins de réduire les doses ou d'éliminer les conservateurs dans les vaccins.
- Un bébé d'un mois reçoit la même dose de vaccin qu'un bébé de cinq ans. C'est-à-dire que le système immunitaire immature du bébé doit combattre l'agent causal de la maladie de la même manière qu'un organisme plus âgé le ferait.
- Des études menées par des spécialistes de différents pays montrent que le syndrome de mort subite de l'enfant est associé à la vaccination.
- L'immunité acquise par la vaccination n'est pas permanente. Après un certain temps, une revaccination sera nécessaire.
- L'allaitement protège mieux le corps de l'enfant que les vaccinations artificielles. Avec le lait maternel, l'enfant reçoit des anticorps contre diverses maladies, y compris celles contre lesquelles les enfants sont soigneusement vaccinés.
- Et, enfin, à notre époque, il n'y a plus beaucoup de maladies contre lesquelles la société se bat encore. Ils n'ont pas complètement disparu, mais apparaissent dans des cas isolés et sont traités avec des médicaments modernes.
Ainsi, les principaux arguments pour refuser les vaccinations sont les effets indésirables graves et la question de la nécessité de vacciner. Bien sûr, chaque parent a le droit de faire comme il l'entend, mais n'oubliez pas la responsabilité qu'il porte pour les décisions prises.