Hier votre enfant était obéissant et affectueux, mais aujourd'hui c'était comme si un démon de contradiction le possédait, ce qui pousse ainsi le bébé à cracher, à s'entêter et à faire des crises de colère. Que faire, mais ne pas se laisser guider par les émotions et ne pas craquer pour l'enfant, gâcher la journée pour lui et pour soi ?
Si la situation le permet, essayez d'ignorer le petit bagarreur. Ne regardez pas l'enfant, ne le contactez pas, vaquez à vos occupations, ne le laissez pas hors de vue. L'enfant perd rapidement tout intérêt pour le comportement démonstratif, ayant perdu le public cible. Une fois qu'il s'est calmé, n'oubliez pas de souligner à quel point vous appréciez son bon comportement.
Si l'aggravation se prépare, vous pouvez essayer d'attirer l'attention de l'enfant sur autre chose que le sujet de la querelle. Qu'il s'agisse d'un jouet brillant, d'un tour inattendu ou, en passant, d'un klaxon de voiture, vous décidez vous-même. La phrase peut même aider: « Oh, n'est-ce pas une queue de renard qui vient de clignoter à la fenêtre ? » Les caprices seront oubliés.
L'enfant au cœur d'une querelle est-il prêt à frapper l'agresseur ou même vous ? Les câlins aideront. Prenez le bébé dans une brassée, serrez-le fort. Dites d'une voix ferme que son comportement était mauvais. L'enfant, sentant votre persévérance, se calmera progressivement.
Encouragez-le à lutter pour l'indépendance! Donnez-vous le choix: mangez des œufs brouillés ou des œufs brouillés au petit-déjeuner, retirez les jouets avant ou après une promenade. En « consultant » votre enfant, vous lui ferez sentir important et le priverez de toute raison d'être capricieux.
Ne vous laissez pas emporter par des concepts abstraits, dites à votre enfant vos besoins avec des mots simples et clairs, demandez-lui de répéter ce que vous lui demandez. Le ton de votre discours doit être amical et calme. Les enfants ressentent subtilement lorsque vous commencez à perdre leur sang-froid, ce qui les irrite davantage. Expliquez toujours pourquoi vous n'aimez pas son comportement et ne vous contentez pas d'énoncer un fait.
Si vous devez menacer un enfant de punition, ne le faites que lorsque vous êtes vraiment prêt à tenir la promesse. Si, après vous être ramolli, vous achetez des glaces interdites, allumez des dessins animés ou emmenez un bagarreur au zoo, préparez-vous au fait que vos paroles ne seront pas prises au sérieux et que les caprices suivants ne seront pas arrêtés de cette manière. Utilisez eux-mêmes des menaces et des punitions, et comportez-vous de manière cohérente si vous devez appliquer des mesures restrictives.
Écoutez activement l'enfant, montrez que vous êtes toujours prêt à le soutenir et à participer à ses petits problèmes. Faites une pause dans les affaires, descendez au niveau de la croissance de l'enfant ou mettez-le à côté de vous, agréez, clarifiez, démontrez votre intérêt. Cette habitude de communication amicale constitue une excellente prévention des conflits incontrôlés avec les enfants.