Rappelez-vous comment les adultes séparent les enfants qui se disputent et se battent ? "Celui qui arrête le premier argument est le plus intelligent", disent-ils. Et souvent, cela fonctionne - la querelle s'arrête. Peut-être que dans le cas de votre mari, vous devriez être le premier à arrêter la dispute sur qui a raison et qui n'a pas raison ? Si, néanmoins, il est important pour vous de prouver votre cas, suivez les conseils suivants.
Instructions
Étape 1
Vous devez d'abord vous calmer (au moins pendant un certain temps, si vous n'arrivez toujours pas à vous calmer complètement). Cela peut être aidé, par exemple, en nettoyant la maison (laver les sols, la vaisselle, les bains). Le travail physique aide à se calmer, à éliminer les irritations et les tensions. Et la conversation ne sera productive que lorsque les interlocuteurs seront calmes.
Étape 2
Se mettre à la place d'une autre personne, surtout dans une situation difficile (lors d'une dispute par exemple), est difficile, on n'en a pas envie. Et le plus simple est de rejeter la phrase: « Eh bien, sa position est claire ! Seulement elle a tort ! Ici, je dis la vérité! Mais les conclusions peuvent être erronées lorsque la situation n'est envisagée que d'un seul côté. Par conséquent, regardez la situation à travers les yeux de votre mari et encouragez-le à évaluer ce qui s'est passé de votre côté.
Étape 3
Essayez de ne pas prouver que votre mari a tort, mais de lui proposer un compromis. Peu importe combien vous aimez, vous ne pouvez pas toujours et en tout être d'accord avec celui que vous aimez. Mais ce n'est pas encore un motif de divorce. Mais si vous ne savez pas faire de compromis (« il a compromis et n'est pas revenu »), négocier et concéder quelque chose (même dans de petites choses), alors il vaut mieux vivre libre.
Étape 4
Si vous n'êtes pas d'accord avec vos proches, mais que vous souhaitez tout de même trouver un langage commun avec eux, débarrassez-vous d'abord des mots "évident", "naturel", "sans aucun doute", "certainement", "ça va sans dire" - tout ça est une évidence, sans doute certainement et va de soi pour ceux qui sont d'accord avec vous. Ceux qui ne sont pas d'accord ne feront que mettre en colère ceux qui ne sont pas d'accord. Remplacez le catégorique « Vous vous trompez ! » à doux, mais le même sens: "Il me semble…" ou "Je pense différemment !"
Étape 5
Admettez que vous vous trompez peut-être, mais demandez une discussion. Dites simplement: « Peut-être que je me trompe (a), mais discutons-en, nous consulterons… »
Étape 6
Évitez le monologue: à la fois si on vous le dit et si vous parlez. Le dialogue retient l'attention de l'interlocuteur, permet de voir que d'après ce que l'on a dit, restait incompréhensible, et les conclusions qui sont tirées au cours du dialogue ne sont pas imposées, elles sont une découverte commune.