Certaines personnes qui se marient croient sincèrement qu'elles resteront fidèles à leur « moitié ». Le concept même de « trahison » leur paraît lointain et abstrait. Mais, hélas, tout arrive dans la vie ! Et puis un jour, loin d'être un beau jour, le mari découvre que sa femme le trompe. Soit le conjoint prend conscience que l'être aimé a une maîtresse. Que faire après avoir appris cette vérité désagréable et douloureuse ?
Par exemple, une femme a condamné son mari pour trahison. Bien sûr, chaque femme en particulier résout ce problème à sa manière, en fonction de ses idées sur les limites de ce qui est permis, l'éducation, le tempérament, les habitudes. Un rôle important est joué par la profondeur des sentiments pour le conjoint infidèle, la présence d'enfants et leur âge. Mais encore, il y a un certain algorithme général d'actions qui doit être respecté.
Il est clair qu'une femme est submergée par la colère, le ressentiment, la colère. C'est une réaction tout à fait naturelle, surtout si l'on considère que le sexe faible est généralement plus émotif que les hommes. Néanmoins, la femme doit se ressaisir et se poser la question principale: veut-elle garder la famille ? Si la réponse est affirmative, il faut, après avoir tenté un tel « biais accusateur » compréhensible et naturel, essayer de trouver une réponse à une autre question: pourquoi a-t-il changé ? Qu'est-ce qui l'a poussé à faire ça ? Après tout, autrefois, le mari ne voulait même plus regarder les autres femmes ! Elle seule existait pour lui. C'est d'elle qu'il tombe amoureux, demande à devenir sa femme. Alors, quelle est la raison de la trahison ?
Il arrive qu'une femme, complètement absorbée par les tâches ménagères, s'occupant des enfants, cesse de prendre soin d'elle-même. Est-il possible d'accuser un mari de trahison si, au lieu de l'ancienne beauté svelte et soignée, il voit tous les jours chez lui une quelconque tante en robe de chambre ample et pantoufles, sans trace de maquillage ni de charme ?
Ou une telle situation. Une femme, même après de nombreuses années de mariage, traite le côté intime de la vie précisément comme des « devoirs conjugaux ». Et toute tentative de son mari pour diversifier leur relation, pour la convaincre que l'intimité ne se limite pas à une position missionnaire (d'ailleurs, dans l'obscurité totale), se heurte fortement négativement, voyant dans cette quasi-débauche. Vaut-il la peine de s'étonner et de s'indigner si le conjoint finit par perdre patience et est mis de côté ?
Dans de tels cas et similaires, si une femme est prête à admettre que l'infidélité de son mari est aussi de sa faute, la meilleure solution est de pardonner et de se réconcilier. Et en même temps, tirer toutes les conclusions nécessaires pour ne pas provoquer la répétition d'une telle situation à l'avenir.
Si la femme trompée a quand même décidé de divorcer, nous devons essayer de le faire avec dignité, sans scandales, crises de colère et réclamations mutuelles. Au moins pour le bien des enfants, pour qui le divorce de leurs parents sera déjà un coup dur psychologique.